vendredi 12 octobre 2012

Valls. Manuel Valls. C’est la France, c’est la police. C’est la police Française.

manuel valls collabo-leche-babouches ri7Il fait tout juste un peu froid ce matin. Des frissons… dans le dos. C’est un peu comme en temps de guerre, la feuille morte n’en finit pas de voler, immobile et portant électrisée de mouvements. Excitée et enfiévrée au beau milieu de l’allée de platanes au garde à vous.

Il fait tout juste une peu froid ce matin et c’est une impression de déjà vu qui perturbe ma rétine, un spasme geigneur qui empaquette mon esprit…

Ils sont là… les voilà donc de retour, les bras balans, le béret sur la tête  tacheté de poussières de farines épaisses… chaque grain est une veulerie, chaque marque est une poltronnerie, une auréole blanche de lâcheté !

Ils sont là, imprimant quotidiennement sur la société le tatouage ignoble de leur fausseté déloyale, de leur mollesse indigne !

Horrible pays de la réaction, ou le viol à plusieurs, le supplice  d’une  drôlesse à peine sortie de l’enfance entraine un débat sur crédibilité des victimes... Dégoutante presse collaborationniste qui comme Europe 1 ce matin, matraque la parole bousculée, le raisonnement suppliciée de cette malheureuse que les juges n’ont pas cru et qui crie son désir de vengeance, son souhait de faire justice elle-même !

La réaction par les deux bouts : injustice du verdict et a-justice du commentaire !

Il fait tout juste un peu froid ce matin, et en me rendant à mon travail, j’ai croisé sur le trottoir un gosse qui partageait une couverture avec son chien…  Je ne sais le quel des deux était le plus a plaindre car l’adolescent avait une barbe !

C’est dangereux de porter une barbe et de dormir dans la rue, un homme au béret pourrait passer, il pourrait avoir peur, il pourrait paniquer. Il pourrait appeler la police !

Comme Valls, il pourrait être choqué de cette barbe, n’y voir que le symbole de celui qui cache son visage, le signe de l’islamisme !milice.png

Pauvre enfant couché sur le trottoir si l’homme au béret a lu Paris Match, c’est peut-être en prison que tu dormiras ce soir !

Car  c’est ainsi que parle Valls : « Je suis frappé d’entendre depuis quelques jours, dans les médias, nombre de témoignages de personnes qui parlent de proches, tombés dans cet islam sectaire. Donc, oui, j’en appelle à la responsabilité des parents et des citoyens. Il y a quelques semaines, à Toulon, une sœur a essayé de protéger son jeune frère pour l’empêcher de passer à l’acte. Elle a alors alerté la police qui a pu l’interpeller et, sans doute, éviter le pire."

Indigne ministre de la République qui s’émancipe des principes qui fondent notre nation en appelant à la dénonciation… 

Irresponsable discours bouffonesque, résidu dangereux de fausse-couche pétainiste, qui entretient la confusion dévastatrice entre  la religion et  le terrorisme, mais en plus qui vise à transformer les citoyens en collaborateur d’une police secrète, milice de bas-étage qui pendrait ses consignes dans l’air du temps !

En renforçant le délire victimaire des islamistes, il jette en pâture, l’air de rien, toute une partie de la population française qui parce qu’elle est musulmane se retrouve à chaque instant désormais sous la surveillasixiémence pointilleuse de l’homme au béret.

Affligeant raisonnement qui ne comprend pas que ceux des islamistes cachés derrière leur barbe, exhibant leurs longues tuniques blanches, se nourrissent, se renforcent, se frisent le poil de cette stigmatisation imbécile…

Il fait tout juste froid ce matin, mais pas assez pour geler l’épaisse couche de moisie que colporte la paresse et la fainéantise de ceux qui nous administrent. La restriction des libertés publiques est un engrenage sans limite, celui qui y met le doigt y laissera le bras pour commencer, puis disparaitra en  se laissant broyer par la fusion de tous les vents mauvais !

Que j’eusse aimé, Monsieur Badinter, vous entendre ce matin rappeler tous ces minables à la raison. C’est une question d’honneur.