Depuis 1460 jours soit déjà plus de 4 ans, depuis l’élection de Martine Aubry à la tête du Parti Sournois, la gauche du PS est retenue en otage dans une cage tyrannique faite d’acceptation du marché et des règles dictatoriales qui y régissent le quotidien…
Enfermés dans des conditions épouvantables, ils doivent endurer quotidiennement les coups de bâtons et les vexations que délivrent quotidiennement les Kapos. letang-moderne a pu se procurer le témoignage anonyme d’un « filochard » bordelais qui nous raconte avec beaucoup d’émotion les éléments de langage que l’on lui donne a apprendre quotidiennement pour justifier de la politique inhumaine de Valls vis à vis des Roms, ou des millions d’euros de subventions donnés en pure perte a de grands groupes industriels gavés de dividendes et que la région Aquitaine s’évertue à soutenir..(Thales, Arkema, Sanofi,….). Tous ces groupes qui licencient à tour de bras distribuent des millions de dividendes qui sont autant d’euros prélevés sur le bien public, un racket en quelques sortes, un impôt privé !
La manière dont sont nourris les otages est tout aussi inhumaine obligés d’ingurgiter le bouillon clair qui dégouline le long de vieilles marmites hollandaises, ils doivent manger tous les jours ces fadaises à la sauce Merkel, plat austère fait à base de bouillie OGM grecque, mélange de crevettes « papandreoutesque » et de poils de rats espagnols échappés du franquisme à la remorque de Rajoy.
Nous savons que ce régime a déjà entrainé la mort de nombreux otages. Les conditions dans lesquelles ont disparu Benoit Hamon et Arnaud Montebourg sont d’autant plus cruelles que les brigands de Matignon et de l’Elysée agitent encore leurs cadavres exhibant ainsi les preuves de leur détermination à éradiquer toutes formes d’expressions de gauche dans le Parti Sournois !
Au Front de Gauche, nous faisons tout et avec la plus grande détermination et responsabilité, pour que les otages survivants puissent retrouver leur famille et leurs proches. Nous poursuivons nos efforts avec ténacité. Les déclarations récentes des quatre otages, Jérôme Guedj, Pascal Cherki, Marie-Noëlle-Lienemann, sont autant d’encouragements délivrés en faveur de notre action déterminée.
Nous espérons bien sur pouvoir avancer vers un dénouement positif et ce, dés la manifestation pour une Europe solidaire 30 septembre 2012- , où nous ferons tout pour accueillir les otages enfin libres !
Mais cette perspective heureuse ne nous fait pas oublier l’état dans lequel se trouve un autre otage, Henri Emmanuelli, enfermé dans une banque invisible, et dans un lieu tenue secret, nous n’avons aujourd’hui et ce depuis bientôt 4 mois plus aucun signe de vie…
Elle ne nous fait pas ignorer, non plus, le sort d Olivier Dussopt, jeune député de l’Ardèche, abattu hier lâchement lors des journées parlementaires du Parti Sournois et dont les dernières paroles furent : «J'ai envie de voter contre le traité, mais je m'abstiendrai par solidarité gouvernementale.»
Enfin nous ne méconnaissons pas la cruauté des ravisseurs, les déclarations récentes d’un de leurs chefs de bande les plus cruels, le très dangereux et vipérin Bruno Leroux, font froid dans le dos tant nous savons la détermination de ces fous du marché, de ces ayatollahs de la rigueur !
Ainsi lorsqu’il déclare hier : «En musique, les fausses notes sont rarement pardonnées» nous comprenons la dépêche cinq sur cinq, et à notre tour, lui adressons le message que ne ferons rien qui puisse mettre en danger la vie de ceux que nous considérons comme nos camarades…
Pour nous qui luttons pour la libération des otages du Parti Sournois, notre obstacle, c’est le temps, et la non information organisée, il faut qu’on crée de l’intérêt là où on veut nous imposer la banalisation et le silence.
Voilà la tâche à laquelle nous nous attelons rompre le mur du silence !