vendredi 25 octobre 2013

Pour une adhésion directe au Front de Gauche !

Iosonsl n’est de problème qu’une absence de solution ne saurait résoudre  avait l’habitude de dire le très radical Henri  Queille !

Le petit père  Queille, malgré son amabilité, sa proximité réelle avec les citoyens, sa fidélité permanente à l’humanisme et à la République, son honnêteté et son amabilité finit tout de même par entrer dans l’histoire politique   comme le e symbole de l'inefficacité et du discrédit de l’IVe République, empêtrée dans le régime des partis et, plus généralement, d'une certaine conception de la politique placée sous le sceau de l'impuissance fataliste et cynique.

Heureusement, le Front de Gauche ne saurait être qu’un simple cartel impuissant de  ses divisions et tiraillé par des intérêts antagonistes !

Le Front de Gauche n’est pas à la cinquième République  ce qu’Henri fut à la quatrième :  Une reconnaissance d’estime !

Nous n’avons pas fait tout cela pour sombrer bêtement  dans un imbroglio abracadabrantesque qui verrait  les espoirs du Front de Gauche se diluer dans une soupe insipide qui unirait dans son  bouillon des femmes et des hommes de convictions  avec des tartuffes du changement.

Demandez à un seul des militants  du Front du Gauche quel est le moteur de ses convictions et vous comprendrez de suite de quel bois il se chauffe !

C’est une évidence pour chacun de nous, ce gouvernement qui se prétend de la gauche achève le travail de la droite,  tout en précipitant les plus désillusionnés  des nôtres dans une abstention mortelle qui fait les beaux jours du F-haine. osons 2

C’est une évidence pour nous tous, qui n’acceptons ni le traité MerKel-Sarkozy-Hollande, ni L’ANI, ni la retraite à 66 ans, ni l’austérité à vie, ni la chasse intolérable aux malheureux, ni les milliards offerts au patronat  sous prétexte de « compétitivité »  de notre économie, ni la réforme qui met à mal les communes et les conseil généraux, ni la faiblesse avec la quelle  le Président Hollande se couche devant l’arrogance des nord-américains,  ni le gel du SMIC, ni la baisse des salaires, ni la casse de l’inspection du travail, ni la disparition des services public, ni la réforme scolaire… ni, ni, ni, ni…

C’est une évidence,  ce gouvernement n’est pas le nôtre, il n’est pas utile au salariat, il n’est pas utile aux aspirations du plus grand nombre !

Et pourtant Le Front de Gauche  qui a rassemblé  il y a un peu plus d’un an prés de  quatre millions d’électeurs, qui a réussit au moins à trois reprises les manifestations politiques de masse pour exprimer le refus du front du peuple aux politiques d’austérité, puis l’immense attente qui est la notre de bouleverser  le contrat entre le peuple et la République , le Front de Gauche se perd tout doucement . Il se répand en divisions incongrues   sur le thème de :

Faut-il oui ou non soutenir les suppôts de Solferino  à Pétaouchnoc ou à Bigoudis sur Tignasse ?

-Je préfère ces images à de véritables villes, pour éviter  tous les arguments de l’intelligence des rapports de forces locaux »-

Il n’y qu’une seule solution pour sortir de cette affaire, c’est  de permettre à ceux qui font le Front de Gauche pour de vrai de donner leur avis pour de bon !

prenez le pouvoir!Réunissons  le plus rapidement possible sous un chapiteau place la nation, les milliers et les milliers  de  gens qui désespèrent de nous voir si niais !

Débattons avec tous ceux qui passent la porte et tournent  le dos à la politique d’austérité, créons dans tous le pays, sur le principe d’un Homme- une voix des comités du Front de Gauche, structurons un collectif politique, une direction, et une stratégie de conquête du pouvoir et nous aurons passé l’étape  en grandissant, sans même s’apercevoir que deux ou trois pékins auront préféré les replis sur eux -même , auront regardé le monde  du haut du promontoire de Trifouillis- les- oies !

Le Front de gauche à  un destin, c’est celui de faire vivre la possibilité d’un autre monde, c’est celui de garder intact la capacité des femmes et des hommes  à refuser la soumission et la vie de bête que le marché leur impose !

En autorisant les millions de gens qui ont soutenu le message d’espoir de notre campagne présidentielle à devenir les acteurs décisifs de la conquête du pouvoir, nous aurons résolu  dans l’unité tous les  faux problèmes qui paralysent la gauche de rupture depuis déjà trop longtemps !

Osons !